J’ai rédigé ce matin ce commentaire en ligne sur le site du quotidien Le Devoir. Il a été publié à la suite de l’article (réservé aux abonnés, sauf erreur) d’Odile Tremblay sur Doris Lessing.
Je l’aimais.
Je l’aime encore, bien sûr, la mort n’efface pas l’amour. Au contraire.
Je l’aimais pour le chemin qu’elle ouvrait dans la nuit de ma vie de jeune femme, avec ses mots comme des faucilles dégageant un chemin dans les terres sauvages.