J’ai souvent pensé que les auteurs devaient se sentir à la fois fiers et perplexes devant la traduction de leurs ouvrages. J’avais raison, en tout cas en ce qui me concerne. Devant la traduction coréenne de mon album Papa, maman, nos livres et moi, je ressens un soupçon de fierté, beaucoup d’inquiétude et une étrange distanciation.

J’ai souvent pensé que les auteurs devaient se sentir à la fois fiers et perplexes face à la traduction de leurs ouvrages. Devant la traduction coréenne de mon album Papa, maman, nos livres et moi (dont les justificatifs de parution me parviennent cette semaine), je ressens un soupçon de fierté, beaucoup d’inquiétude et une étrange distanciation. Explications ci-contre, dans les carnets d’humeur.